Georges, trente ans, un colosse d'un mètre quatre vingt dix pour cent kilos, est marié à Valérie, une superbe blonde de vingt deux. Le couple vit chez Odette, la cinquantaine, mère de Valérie. Le courant passe mal entre George et sa belle mère. Celle-ci la même mis en garde.

Depuis quelques temps, un couple de maghrébin, Djamel et Malika, se sont installésà la maison juste à côté d'eux. Valérie a vite sympathisé avec ses nouveaux voisins, à tel point, qu'au bout de deux mois, elle profite des absences répétées de son époux, pour aller passer la nuit chez eux à se faire niquer, sodomiser, à tailler des pipes, et même se faire gouiner par Malika.

-Tu vois ce que les maghrébines font aux françaises sourit Malika, comme on s'amuse avec leur petite chatte, leur clito. Comme on les fait mouiller quand on les branles. Comme on vous fait hurler de plaisir quand on vous fait jouir. De vraies salopes.

Un jour, en sortant de la douche, Georges surprend une conversation téléphonique, entre son épouse Valérie et Odette, concernant ses escapades nocturnes. Georges voit rouge.

-Quoi, rugit Georges, je vais lui dire deux mots à ce sala arabe, in va voir la rouste que je vais lui mettre.

Il se rend chez le voisin, simplement vêtu d'un slip. S'engage alors une vive altercation. Les cris, les insultes fusent, le maghrébin traitant Georges de cocu, d'incapable au lit, de ne rien avoir entre ses jambes. Ce qui n'est pas tout à fait faux. En effet, Georges a beau être taillé en Hercule, côté sexe, il n'a pas été gâté par la nature.

Non seulement le ton monte, mais les deux hommes en viennent aux mains.

-Enfoiré...non, ne quitte pas mon slip...aie...aie...pas mes glaouis...aie...sort ton doigt de mon cul....aie...

-C'est ma bite que tu vas avoir dans ton cul....et c'est quoi qui pend entre tes jambes...c'est avec ça que tu baises ta femme. je comprends qu'elle se régale quand je la nique. Viens voir Malika.

A entendre les cris, Odette imagine la scène. Elle se déplace, ne voulant rater ça pour rien au monde. Et elle ne va pas être déçue. Malika s'approche, saisit les testicules de Georges, les fait rouler entre ses doigts.

-Non Madame, s'il vous plait, pas ça...pas mes couilles...ahou...ahou...ça fait mal....aie...

-Les hommes n'aiment pas quand un femme les attrapes par les boules, répond la maghrébine..fait voir ton petit zob que je le décalotte.

Pendant cet intermède, Djamel en a profité pour se mettre à poil, et astique sa grosse bite. Il f o r c e Georges à se mettre à quatre pattes, et enfonce son énorme pieu dans son cul. Georges hurle de douleur. Il est en tain de se faire sodomiser par l'amant de sa femme.

-Assez...assez, ta bite est trop grosse....tu me fais mal...arrêtes, je t'en supplie.

-A une condition, propose Djamel, que je puisse niquer ta femme quand j'en ai envie, ok?

-Oui...oui, pleure Georges, tu pourras la prendre quand tu veux....

Mais Djamel en veut plus. Il saisit Georges par les hanches, et l'empale sur sa bite en érection. Odette entend un cri de bêtes. Son gendre est entrain de se faire saillir par un arabe pour la deuxième fois, qui plus est, est l'amant de sa femme.

Soudain, on sonne à la porte. Odette ouvre, met sa main devant la bouche pour ne pas éclater de rire.

Son gendre est là, sur le seuil, plié en deux dans une brouette, dans une position inconfortable.

Le maghrébin lui a replié les jambes sur les épaules, et les a ficelées autour du torse. Tant et si bien, qu'au bas du ventre, ses petites couilles sont exposées, tel un fruit prêt à être cueilli. Odette tient sa vengeance, et va cueillir les fruits. Elle veut que son gendre se soumette. Odette pince les petites testicules, pour le faire couiner. Dans cette position, le petit trou de Georges est à porté de doigts, Odette remarque qu'il est plein de sperme, de même que sa petite queue.

-Tu as du bien te faire enculer salaud, sourit Odette, ton fion est plein de foutre...et tu as du jouir aussi, ton petit gland est couvert de sperme.

Odette saisit les testicules un à un, les vrille comme si elle arrachait un fruit mur.

-Ben dis dont, dit-elle, ils sont bien accrochés...on va voir si ton petit zob l'est autant. Attend, je vais bien te le décalotter...voilà, ton petit gland est tout nu...je vais pouvoir laver tout ça...tu vas voir comme belle maman va nettoyer ton petit oiseau, il va être tout beau.

Odette prépare une grande bassine d'eau. Tout en maintenant son gendre par ses petites couillettes, elle l'oblige à rentrer dedans. Georges hurle de douleur quand Odette lui lave ses petits oeufs au gant de crin. Il hurle encore plus quand encore plus, quand elle lui nettoie son petit sifflet entièrement décalotté. Georges pleure comme un petit garçon.

Sa belle mère l'oblige à vivre tout nu, le lâche dans le parc. Dès que Malika l'aperçoit, elle lui court après. Quand elle l'attrape, elle le couche sur ses genoux, lui donne la fessée, glisse une main entre ses jambes, lui pince ses petites couilles. Georges hurle de douleur.

Certains après-midi, Odette l'emmène chez les voisins, en le tirant par sa petite queue. Là, pendant qu'elle prend le café avec Malika, Djamel s'amuse avec Georges. Il l'encule, se fait tailler des pipes. Georges est devenu sa femelle. C'est la soumission totale.

Il arrive même que Valérie, sa ravissante épouse, participe à l'humiliation, en se faisant saillir par Djamel devant lui.